La crasse des autres.
Encore à fabuler
Je ne sais plus vers quoi me tourner.
J’en arrive au point d’être écœurée
Par cette absence d’honnêteté.
Toujours à se cacher,
Il serait temps de les porter, vos joyaux, si envoûtés.
Vous savez, ceux si faciles à apprivoiser.
Avant toute indignité,
Il ne s’agit là que d’une vérité,
Représentant une part de masculinité
Sur une note de préjugé,
Faisant écho à nos propres sensibilités
Et à nos histoires passées.
Finir encore par se savonner, se laver, se purifier de vos péchés,
Dans l’espoir de retrouver notre propre féminité.
Tout cela pour se faire à nouveau entuber.
Vive l’humanité.